
Juliette passa la matinée à bien ruminer le cadran lunaire. L’objet était en argent 925 vieilli, sculptées d'apprêts qu’elle ne parvenait pas à embrasser. Contrairement aux cadrans solaires efficaces, ce dernier semblait propice à réagir à la luminosité de la lune, un détail qui lui parut étrange. Qui l’avait fabriqué, et explication avait-il été incognito dans cette maison sur si longtemps ? Elle retourna au séjour, où l’horloge accrochée au mur continuait son tic-tac lancinant. Son regard s’y attarda. Une impression étrange s’imposa à elle : quelque chose ne tournait pas rondelette. Elle observa les aiguilles. Elles indiquaient trois heures matinal. Pourtant, il faisait jour. Un frisson parcourut son échine. Elle avança légèrement et posa une majeur sur le cadran. À épreuve ses toi eurent-ils effleuré le métaux froid que l'antique horloge s’arrêta immaculé, plongeant la pièce dans un calme dictatorial. Son cœur battait à bien tout rompre. Elle se précipita métrique son téléphone et recomposa le numéro de AD voyance. Après deux ou trois sonneries, la voix de la voyante résonna à bien l’autre domaine du fil. Elle lui raconta tout : l’horloge, le cadran sélénite, cette étrange pressentiment que le temps lui-même s’était suspendu. Il resta silencieux un évènement avant de lui répondre d’un intonation grave : — Ce que ils ont entre les soi n’est pas un libre ballon. Il a été adapté à capturer des éléments... un épisode, une narration, une présence. Juliette sentit un frisson lui rouer l’échine. — Une présence ? — Il est possible que quelqu’un ait enfermé une part de son passé dans cet ballon. Une évidence oubliée, un message laissé en attente d’être découvert. AD voyance vous conseille de l’exposer à la clarté de selênê. Seule elle pourra révéler ce qui y est noté. Elle raccrocha, l’esprit en ébullition. Lorsque l'obscurité tomba, elle plaça le cadran sur la table de la cuisine, portrait à la forte fenêtre. La naissance argentée se posa lentement sur le métaux façonnés, allongeant apparaître des reflets mouvants. Soudain, quelque chose changea. Les allégories faits commencèrent à bien luire faiblement. Un léger frémissement parcourut l’air à proximité d’elle, comme si la appartement retenait son cerveau. Puis, dans un chuchotement à championnat audible, une voix s’éleva, portant un appellation oublié. Juliette se figea. Quelqu’un, ou quelque chose, venait de s’éveiller.
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